Kim Thy TRAN, fondatrice de la marque Ba Cô nous détaille le partenariat qui lie la start-up à l’ESAT Yvonne Wendling et son atelier couture, fort d’une douzaine de couturiers.
Une démarche éco-responsable ancrée dans le tissu économique local.
Avec l’atelier de l’ESAT Yvonne Wendling, nous avons commencé notre collaboration fin 2020 : du test du prototype, en passant par la phase d’apprentissage jusqu’au lancement de la production.
La vocation de Ba Cô est d’accompagner la transformation de chacun, en remettant au goût du jour les bonnes pratiques de nos grand-mères, zéro-déchets et éco-responsables. Notre produit phare est le sac à pain nouvelle génération, 4 en 1, réutilisable. J’ai fait appel à l’ESAT Yvonne Wendling, car au travers des produits Ba Cô, je voulais que la démarche soit engagée de bout en bout. Cela impliquait une confection locale et sociale.
Un haut degré d’exigence
Mes exigences étaient les suivantes : une réalisation soignée, une finition impeccable, une couture solide, une concordance avec le prototype, une collaboration fluide et constructive.
Une aventure humaine
Ce qui m’a touchée chez les équipes d’Yvonne Wendling :
- L’accueil, la générosité des couturiers et leur enthousiasme au quotidien.
- La collaboration avec une monitrice d’atelier : la bienveillance, les compétences et conseils professionnels pour toujours améliorer la confection du produit..
- La réactivité des équipes encadrantes et le soutien dans le développement de Ba Cô
J’avais à cœur de mettre l’humain au centre du projet Ba Cô, et je l’ai trouvé au sein de l’ESAT Yvonne Wendling.
